Jean m’a encore fait jouir comme jamais ! J’adore être sa petite salope !

Gabrielle soumise salope pour maitre pervers

« Je bande, en t’imaginant dans le latex que tu vas porter… Aujourd’hui tu vas prendre cher ! rendez vous au café de l’avenue dans 5min. »

Quinze jours que je n’avais plus de nouvelle je pensais qu’il ne me contacterait plus ! je suis même retournée sur le site de rencontre pour avoir un sex-toy humain pour tenter de le remplacer c’est comme ça que Mathieu se trouve entre mes cuisses alors que je lis le message de jean. Il me pilonne comme un fou et je ne vais pas avoir le temps de me doucher, tant pis jean sentira que je ne suis pas exclusive.

— Dépêche-toi j’ai un rendez vous dans 5min, je dis à Mathieu.

Un grognement me répond. Il attrape mes cheveux et me prend comme un fou, ce que j’aime ça, ça bite me remplit, me vide dans de long vas et viens. Je ne peu m’empêcher d’imaginer jean entré chez ma mère pour venir me chercher et me surprendre dans cette position, voila ce qui me fait perdre la tête. Je grogne, je crie, puis je me mets à hurler ma jouissance.

— Huuuummmm, ouiiii, ahhh, dis-je soupirante.

J’abaisse ma jupe sur mes cuisses, ça ne sert à rien que je me change et que j’enfile un sous-vêtement. Je regarde Mathieu partir jeter la capote usager dans la salle de bain puis revenir en reboutonnant son jeans. Il me regarde puis me dit :

— J’aurais aimer avoir plus de temps avec toi…

— Je suis désolé, je te rappelle dès que possible, je lui réponds.

Il dépose un baiser sur ma joue, je crois qu’il n’a pas tout compris sur mes attentes, s’il recherche une relation sérieuse c’est fichu, j’ai Jean dans la peau et pas qu’un peu ! je lui fais un signe de main lorsqu’il s’éloigne je passe mes mains dans mes cheveux emmêler par mes exploits sexuels pour me coiffer brièvement puis je réponds au sms de Jean :

« J’arrive »

Je me dépêche de me rendre au lieu de rendez-vous je crois que je vais être en retard, voilà que je m’imagine habillé de latex, ça va mouler mon corps comme d’une deuxième peau, j’espère que ça sera comme la dernière fois qu’il va me prendre comme un dingue, que je vais transpirer, qu’il va me spermer dessus pour me marquer. Quand j’arrive, je suis un peu essoufflée, il est debout à m’attendre, il sourit en me regardant.

— Bonjour petite chienne, aller en voiture.

— On ne prend pas un café ? je demande un peu déçu.

— Non, nous n’avons pas le temps. Tu m’as l’air essoufflé, je te sors d’une séance de sport ?

— Non enfin… si on peut catégoriser une partie de baise en sport alors oui !

Je rentre dans son véhicule, la chaleur du cuir me brule le cul, je regarde Jean qui se marre doucement. Fais chier il n’a pas l’air jaloux…

— Ou allons-nous ? je demande curieuse.

— Surprise ! mais prépare toi mentalement et…repose toi, tu va avoir besoin de toute tes forces.

Quoi ? pas de jeu sexuel dans la voiture, ni de petite pipe ! me reposer alors qu’il m’excite ça va être difficile…

— Tu es en train de me dire qu’il faut que je dorme ?

— Exactement, bonne sieste !

 

Baisée à mort comme une jolie pute rousse qu'elle est

 

Il prend la route et je soupire dramatiquement, alors celle-là je ne l’avais pas vu venir, puis pourquoi il faut que je me repose d’abord ? pfff ! je pose ma tête et ferme les yeux a défaut de jouer je vais fantasmer et quoi de mieux que de m’imaginer Jean me prenant le cul pendant que Marlon me bouffe la chatte comme un dément ? machinalement ma main droite glisse entre mes cuisses je retrouve la moiteur de ma chatte qui n’est toujours pas calmer.

— Ohhhh tu est excité, une partie de baise ne t’a pas suffi ? Besoin d’un coup de main ? demande-t-il totalement sérieux.

— Ouiiii j’aimerais bien.

Mes doigts s’insèrent en moi, je me cambre afin de mieux me sentir et je ronronne de plaisir. Jean lui décide à ce moment-là de se garer sur un chemin de terre dans les bois. Je me stoppe dans mes geste un instant pour voir ce qu’il va faire. Il sort précipitamment du véhicule en fais le tour et me fais sortir en me tirant par le bras, je manque de tomber, il me plaque face au capot du véhicule, relève ma jupe, j’entend le bruie de sa ceinture. Chose que je n’ai pas prévu c’est la morsure du cuir qui me fouette le cul et le pire c’est que ça m’excite encore plus que j’en gémis. Il se penche près de mon oreille puis me murmure :

— Tu tes fais baiser par un autre je dois résoudre se problème, tu me comprends j’imagine, dit-il la voix chargé de colère.

Il entre sa bite sans plus de cérémonie dans ma chatte, enroule mes cheveux dans sa paume les tirs, me baise comme un fou, me claque le cul, mon cœur bat fort, je gémis comme pas possible. Je le laisse me punir avec joie, sa bite me remplie parfaitement et j’aimerais qu’il n’en sorte jamais.

— Annnhhh, gémis-je tremblante de tout mon corps.

— Tu es à moi ! dit-il avant de me mordre l’épaule.

Ses vas et viens me donne le tournis, je tremble, j’ai du mal à respirer normalement tant il va vite, je me mords la lèvre.

— Jouie pour moi salope ! ordonne-t-il froidement.

Il me fait me cambrer au maximum laissant le vent venir chatouiller mes seins et me prend à grand coup de bite, ça me fait décoller, mes yeux se révulse tant il me donne du plaisir.

— Ouiiiiiiiiiiiiii, ouiiiiiii, annnnnhhhh, je crie sans me soucier des alentours.

Il me claque le cul sort de mon corps et me gicle dessus en rabaissant ma jupe, je reprends mes esprits doucement quand il me dit :

— En voiture !

Je ne me fais pas prier, y compris pour sombrer dans un léger sommeil réparateur. Lorsque nous arrivons à destination, je tente de voir si c’est la maison de la dernière fois avec Jasmine et Marlon mais je comprends très vite que ce n’est pas le cas. Alors je patiente et le suis comme la petite chienne que je suis. J’entends vaguement de la musique, c’est assez étouffer. Nous arrivons à un grand bâtiment ou il cogne trois fois à la porte, un homme baraqué ouvre la porte et là j’aimerais qu’il me prenne sur le champ, il a les yeux vicieux et ça m’excite. Jean remarque mon manège et me tire le bras pris de jalousie. Je vais de nouveau être punis je crois bien !

— Ce que tu es insolente aujourd’hui ! quand je t’ai dit que tu allais prendre cher crois moi tu va morfler et tu ne tiendras plus sur tes jambes !

Un frisson me parcourt le dos. Nous sommes dans un club enfin c’est ce que j’ai comme impression, libertin surement, des gens évoluent nue comme si cela était naturelle, il me tire, nous ne restons pas dans cette salle, dommage. Une autre porte avec un autre vigile qui attend une confirmation puis qui nous laisse entré. Là c’est complément diffèrent, il y a tout un tas d’accessoire et beaucoup, beaucoup de latex ! croix de saint jacques, banc, plusieurs lits s’étalent au centre de la pièce, fouet, martinet de toute sorte, menottes, chaines, vibro, plug, rosebud… je vais prendre cher, très cher !

— Jean, dit une voix féminine. Te voilà enfin ! j’ai cru que je n’allais plus te revoir.

— Eh bien me voilà, il me fallait un peu de temps pour éduquer ce gouffre a bite ! dit-il en me regardant me dandiner d’une jambe a l’autre.

Je regarde les gens évoluer, enfin si je peux dire ça. Un homme est accroché à l’une des croix de saint jacques, les yeux bandé plusieurs femmes évoluent autour de lui comme des affamés, c’est alors que l’une d’entre elle se met à genoux et lui prend la bite en bouche, elle le pompe puis lui crache dessus, une autre lui mord le téton, il cris, gémis, je fronce les sourcils ne comprenant pas vraiment le système.

— Je t’avais dit que tu allais porter du latex mais j’ai trouvé mieux ! dit Jean victorieux.

— Ah oui ? je lui demande.

— Tu vas être nue, déshabille-toi maintenant ! nous n’avons pas de temps à perdre.

J’obéit tout en regardant les gens qui me regarde comme une brebis entrant sur le territoire des loups. Une femme recouverte de latex s’approche d’un pas déterminer vers nous et demande à Jean :

— Je peux jouer avec ?

— Bien sûr ! aller suit la dame, me dit-il.

— Viens ma belle, installe-toi sur le banc a quatre pattes.

Je soupire d’appréhension, je ne sais pas ce qu’il m’attend, je regarde jean qui discute encore avec la femme qui ne s’est même pas présenté. Un frisson me parcourt le dos, sa main viens toucher mon dos, mon cul puis ma chatte. Me soumettre à une femme, je ne l’ai jamais fait encore et je dois dire que quelque part c’est excitant. Ses doigts entrent dans ma chatte sans me demander la permission, je soupire, ça me fait du bien, c’est doux.

— Je ne veux pas t’entendre, ici tu es une soumise et tu n’as pas ton mot à dire, juste à obéir et prendre du plaisir.

Elle attrape une bougie que je n’avais pas vu jusque là et je commence à paniquer, je me tends et elle le remarque.

— Ne t’en fais pas tu vas aimer crois moi…

Jean arrive enfin, il se place face a moi, je n’ai pas besoin d’un dessin pour savoir ce qu’il va me réclamer, je m’en lèche les lèvres d’avance. La bougie coule sur mon dos, j’ai un sursaut de surprise mais je ne bronche pas. D’autre goutte me tombe dessus, Jean me tend sa queue bandée, je ne peux pas la prendre en main alors il me la fourre dans la bouche jusqu’à me tiré un haut le cœur, il va et viens au début lentement puis bien plus rapidement m’attrapant le crane a coté de ça la femme me chatouille la chatte de ses doigts puis un truc plus gros fais son apparition a l’entré de mon vagin, surement un gode. De ses mains elle me caresse le dos la ou elle a fait tomber la cire, elle se pense me lèche et le gode entre en moi, la queue de Jean dans la bouche, j’ai beaucoup de difficulté pour gémir, un son de gorge passe quand même la barrière de mes lèvres, ma chatte se fais prendre et j’aimerais me cambrer comme une petite chatte, c’est diffèrent d’un vrai sexe mais avec jean en face qui prend son pied dans ma bouche, je décolle rapidement, j’en veux plus encore. La femme vient pincer mes seins puis mon bassin. Je crois que… c’est elle qui me baise, surement un gode ceinture ce qui fais redoubler mon excitation. Jean arrive à la fin, je sens sa bite pulser sur ma langue il fait encore quelques gorges profondes et me sperme dans la bouche. Je manque de m’étouffer en tentant de tout avaler, sa semence coule sur mon menton, il se penche et viens m’embrasser chose qu’il n’a jamais fait encore. Mon petit cœur fait un salto arrière et danse dans ma poitrine malgré moi.

 

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— Arrête, dit-il a la femme allons à la croix.

J’ai du mal à me remettre debout a cause de la position que j’avais sur le banc c’est donc au ralentie que je les suis jusqu’à une croix de saint jacques. Jean attrape mes poignets et les accroches, ça me tire, il en fait de même avec mes chevilles, me détaille puis dit :

— Parfaite…

Il s’en va chercher un martinet, la femme prends des pinces a tétons s’approche de moi, m’embrasse généreusement les seins, me mordille les tétons et m’installe les pinces, je mords la lèvre. Jean passe dans mon dos et fais glisser les lamelles de cuir sur ma peau, un frisson et voila la morsure, je gémis au début de douleur, j’ai envie de pleuré, la femme avec son gode ceinture me regarde avec gourmandise, elle regarde John qui doit approuver silencieusement je ne sais quoi et elle insère de nouveau se sex-toy en moi, je tremble et soupire comme une folle.

— Tu vas aimer j’en suis sûr !

Elle me baise et tire la chaine pendant que Jean me martèle de coup de martinet, je sens que mes cuisses s’humidifient, j’entre dans un état second, ou le plaisir est là pour moi. J’ai envie de jouir, de crier, de gémir, tout a la fois. J’ai la tête qui tourne sous toute ses sensations. Je ne sais pas combien de temps ça dure mais j’ai l’impression que ça dure des heures. Ils s’arrêtent tout les deux en même temps me laissant vide et paniqué a l’idée qu’ils ne terminent pas ce qu’ils ont commencé.  Il me détache et m’aide à me porter jusqu’à l’un des lits. Je m’installe doucement ne sachant pas à quoi m’attendre.

Jean se met à genoux, puis il me tend sa queue que je reprends volontiers en bouche, les mains libres je lui caresse les couilles et le branle doucement.

— Allez installer toi a quatre pattes que je te sente sur ma bite.

Je me penche et il entre en moi tranquillement, il fait quelques vas et vient et me sert contre son torse laissant a vu ma chatte a la femme qui se penche immédiatement pour la gouter. De nouveau tout un tas de sensation me submerge, je souffle, je halète comme pas possible.

— Annnh, ouiiii, je râle.

Mon bassin de mouve sous leurs attaquent, Jean me mord l’épaule, la nuque.

— T’aime ça hein petite chienne te faire prendre dans tous les sens !

—Annnhhh, ouiiii, encore, dis-je perdu dans les sensations.

Jean s’enlève de ma chatte et s’insère dans mon anus, j’ai un petit crie de surprise, il étend ses jambes afin d’être mieux installer et la femme reviens avec son gode ceinture, elle place ses jambes par-dessus celle de Jean et s’insère en moi, j’ai le souffle couper, la chair de poule me gagne. Jean se mouve lentement, attrape mes seins en coupe et la femme les lèches, les embrasses, les mordilles. Je suis trempée, je ne tiens plus, il faut que j’arrête mais que je continue aussi.

— Détend toi et prend nous en toi ! me dit Jean.

Je souffle comme une folle, tremblante je tente de me baisser sur sa bite et sur se gode, dans un concert synchroniser ils me prennent et nous faisons un concerto de gémissement durant ce qui me semble une éternité, les gens viennent nous regarder, la femme jouie la première en tirant sur les pinces accrocher à mes tétons me faisant mal mais beaucoup de bien également.

— Annnnnhhhh, fais-je soupirante.

— A toi de jouir petite chienne tu l’as bien mérité.

Je souffle il me donne quelque coup de rein bien profond et je me mets à hurler me cambrant au maximum.

— Annnnnhhhh, ouiiiiiii, ouiiiiiii, hurlais-je en pleurant relâchant tout mon corps contre celui de Jean.

Ma jouissance dure longtemps, je m’écoule comme une fontaine sur le lit trempant tout le monde au passage.

— Bah alors tu pleures, trop d’émotion peut être ?

Je dis oui en agitant la tête mollement, il se met à rire joyeusement s’extrait de mon anus et fais comme a son habitude, il me penche en avant et me gicle sur le dos, étalant son sperme de ses mains sur ma peau. Je suis épuisée, je me redresse difficilement sur mes avant-bras. Jean me tend mes vêtements que je n’avais même pas vu, il m’aide comme il le peu voyant mon état de fatigue.

Une fois rhabiller, il ne cherche même pas à me faire marcher et me porte entre ses bras, il salut les gens d’un signe de tête avant de quitter la salle et de marcher rapidement dans le coin libertin. Une fois a l’extérieur il me dépose au sol ouvre la voiture et m’aide à m’installer. Il s’installe à son tour, il soupire puis me dit :

— C’était génial, jamais je n’aurais cru que tu tiendrais aussi longtemps. Bravo !

Je le sens distant, mais je ne sais pas pourquoi. Il démarre et je m’endors rapidement par le bercement de la voiture.

— Gaby, Gaby m’appelle Jean.

Je relève la tête et je constate que nous somme arriver et mieux encore, que je suis à côté de chez moi.

— Te voilà arriver…

— On se revois quand ? je demande.

Un silence me répond, je sens les larmes me monter aux yeux. La fatigue, et toutes les émotions ressenties aujourd’hui on raison de moi.

— Tu ne peu pas me prendre, jouer avec moi a ta guise puis me laisser seule du jour au lendemain, je gronde.

— Tu n’a pas ton mot à dire, tout a été très clair entre nous dès le départ je te rappelle ! gronde à son tour Jean.

Je souffle puis quitte le véhicule, en claquant la portière comme si elle me brulait les doigts. Un de perdu dix de retrouver, je n’ai plus qu’a chercher quelqu’un d’autre qui voudra me garder…

 

 

 

 

 

 

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