Marie jeune nympho de 20 ans pour sexe à volonté

Marie jeune nymphette pour sexe à volonté

Salut à vous les amis ! On ne se connait pas encore, mais j’espère pouvoir remédier très rapidement à cela. Afin que vous puissiez découvrir qui je suis, laissez-moi vous faire une brève description de mon univers.

Une cochonne extravertie assumée

Je m’appelle Marie, j’ai 20 ans depuis tout juste 2 jours et je suis une grosse fêtarde ! On dit souvent de moi que je suis un petit bout de femme avec un faciès d’ange. Cependant, prenez garde, derrière ce visage enchanteur se cache un petit démon prêt à bondir sur la moindre opportunité pour participer à une soirée de débauches.

Je travaille comme serveuse et gogo danseuse dans un bar depuis 2 ans. Je m’éclate dans mon travail même si j’avoue avoir beaucoup de mal à ce que mes danses privées ne dégénèrent pas en gros câlins. J’ai toujours eu beaucoup de succès auprès des hommes… et des femmes aussi d’ailleurs. Cela m’a amené à faire connaissance très rapidement avec une partie de moi encore inconnue et ainsi faire l’apprentissage d’une sexualité pour le moins débridée. J’ai découvert, très tôt, mon attirance pour les filles. Je les ai toujours trouvées plus douces, plus sensibles, plus câlines et surtout beaucoup plus douées avec leurs dix doigts.

Le meilleur orgasme de ma vie, ce n’est pas un garçon qui me l’a offert, mais bien une jeune fille de mon cours de natation. Dernière à avoir quitté la piscine où je prenais des cours chaque semaine, j’avais eu la surprise de trouver Mélissa nue dans les vestiaires. La sublime nageuse m’avait alors initié aux joies de la sexualité entre nanas. J’avais remarqué quelques œillades et la rumeur courait que la jeune fille n’aimait pas du tout la compagnie des garçons. Je n’y prêtais pas attention, mais j’avoue que les sublimes courbes de Melissa ne me laissaient pas de marbre. À son contact, je sentais une moiteur se propager dans ma culotte et l’envie irrésistible de me caresser en pensant à elle plutôt qu’à mon copain du moment. Depuis cette expérience insolite dans les vestiaires, Melissa a poursuivi mon éducation. Chaque recoin inexploré de mon propre corps, la langue experte de la jeune fille l’a pénétré, afin que je puisse reproduire par la suite sur elle les mêmes gestes délicieusement coquins. Je la croise encore de temps en temps lors de sorties en boîte entre copines plutôt open et nos retrouvailles se révèlent souvent très pimentées.

 

 

Marie pute à domicile

 

La mise en bouche inachevée

Il est 23 heures et je travaille depuis déjà deux heures. J’ai commencé mon service en tant que serveuse, mais maintenant je me déhanche sur la scène au rythme d’une musique électro. J’ai troqué mon plateau pour des sous-vêtements coquins qui ne cache pas grand-chose de mon anatomie. Il y a beaucoup de monde et plusieurs groupes se sont formés autour de moi et me hèlent pendant mon show. J’adore avoir l’attention rien que pour moi. Cela me motive à en donner encore plus. Je bouge mes fesses rebondies à hauteur du visage d’un jeune homme complètement excité qui en profite pour me caresser le fessier d’une main entreprenante. Je recule avec un air nonchalant pour lui signifier que les caresses ou autres jeux ne se passent pas en public. Il regarde ses potes et me fait un signe pour que je le retrouve dans la salle des danses privées.

Je ne me fais pas prier. À peine le rideau tiré, je l’assois sur la chaise située au milieu de la pièce et déboutonne prestement son pantalon. Je le suce goulûment et gobe les boules pleines de sperme du jeune homme. Je lape sa queue durcie avec envie même si j’aurai bien aimé que l’on s’occupe aussi de moi. Mais je ne me laisse pas divertir, j’ai une conscience professionnelle que voulez-vous. Je m’attache à satisfaire mon client et augmente la cadence de ma langue sur le membre tout chaud. Mon observateur du soir agrippe mes cheveux et se vide rapidement dans ma bouche avec un râle profond. Je sens le liquide remplir ma bouche et tapisser ma gorge. J’avale avec gourmandise le nectar tout en léchant la dernière goutte sur la queue offerte. Après avoir remercié le jeune homme, je retourne travailler heureuse d’avoir égayé la soirée de l’inconnu, mais plutôt frustrée de ne pas avoir pu satisfaire mon intimité.

Les prémices sexuelles de la soirée m’ont ouvert l’appétit. Je viens de terminer mon service, mais je n’ai pas du tout envie de retrouver mon appartement froid et sans vie. Je désire plutôt retrouver de la chaleur humaine, danser comme une folle et pourquoi ne pas terminer la nuit chez une quelconque conquête. Plusieurs collègues de travail dont Anaïs et Natacha, un couple de lesbiennes que j’apprécie particulièrement, ont prévu de terminer la nuit dans un after, mais pas n’importe lequel. Une boîte gay ! Je ne tergiverse pas longtemps et me décide à accompagner mes amies pour, je l’espère, une nuit de folie.

 

 

Belle petite chatte ouverte de Marie pour bonne bite juteuse

 

La virée en boîte lesbienne

Ce soir, je porte une tenue assez osée. J’ai un bustier à dentelle rouge avec une mini-jupe écossaise. Des cuissardes noires finissent de parfaire mon look sexy. Pour finir, j’ai relevé mes longs cheveux en chignon indiscipliné au sommet de ma tête. Une pointe de maquillage autour des yeux, un soupçon de rouge à lèvres écarlate et je suis fin prête pour danser jusqu’à l’aube. Je suis accompagné de mes deux super copines lesbiennes qui s’adonnent quotidiennement à des sorties échangistes dans des clubs libertins de la ville.

Arrivées dans la boîte, je me rends compte d’un simple coup d’œil que la fête bat son plein. Plusieurs couples se sont formés au gré des envies de chacune. Aucun homme ne vient troubler la quiétude des lieux. Je vois plusieurs jeunes femmes me dévisager et détailler ma tenue avec concupiscence. Je décide de m’élancer sur la piste, de m’amuser et… advienne que pourra.

Je me trémousse sur le dancefloor avec toute la sensualité dont je sais faire preuve. Deux jolies filles se rapprochent et bougent avec moi. Je sens la chaleur du désir monter en moi. La poitrine, dépourvue de soutien-gorge, de ma partenaire de danse ballote au rythme de la musique techno qui pulse à mes oreilles. Je distingue l’aréole du mamelon et son téton à travers l’étoffe de son corsage. Je m’imagine en train de lui lécher la pointe tout en lui caressant le clitoris du bout des doigts. Je me perds dans des pensées cochonnes tout en poursuivant ma danse effrénée. Nos poitrines se touchent et se rencontrent à plusieurs reprises. Je sens sa main s’attarder au creux de mes hanches pendant qu’au même moment le souffle chaud de l’autre danseuse vient se déposer sur ma nuque. Je l’avais presque oublié celle-là.

Une partouze rien qu’entre filles

Après plusieurs minutes de danse très tactile, il est certain que nous nous sommes fortement rapprochés. Nous décidons d’aller nous reposer un peu dans une alcôve très en retrait dans la salle. Nous sirotons nos verres en faisant connaissance. Julie et Aurélie sont deux jeunes femmes très sympas qui savent parfaitement ce dont elles ont envie. Et ce soir, ce qu’elles désirent, c’est moi. La tension sexuelle qui règne entre nous est palpable. Je croise le regard de mes deux amies arrivées en boîte avec moi. Elles discutent avec une pulpeuse créature qui n’a pas l’air bien farouche. Je sens qu’elles aussi, sont en train de passer une bonne soirée.

Julie, la jeune femme aux seins libérés, se rapproche de moi et me susurre à l’oreille qu’elle a très envie de m’embrasser. Je ne la laisse pas languir plus longtemps et m’empare de sa bouche avec fermeté. Le contact de sa bouche chaude semi-ouverte sur la mienne me provoque tout de suite une grande excitation. J’ai attendu ce moment depuis le moment où mes yeux se sont posés sur elle. Ma langue caresse la sienne. Je la suçote avec délice en effleurant sa poitrine et son téton durci par le désir. Je sens la main d’Aurélie s’égarer sous ma jupe. La coquine ne veut pas rester sur le carreau ce soir, et cela pour ma plus grande satisfaction. Au moment où je sens les doigts d’Aurélie s’enfoncer dans mon intimité, je vois Anaïs, Natacha et leur sulfureuse invitée s’asseoir à notre table et profiter du spectacle. La vue de ma chatte découverte donne des idées à Natacha qui se met à caresser sa chérie et à la doigter fortement tout en embrassant langoureusement leur inconnue du soir.

Au comble de l’excitation, j’écarte le string de Julie, m’empare de son clitoris gonflé et le pince doucement. Celle-ci gémit à mon oreille et me mordille langoureusement. Pendant ce temps, Aurélie en profite pour dégager l’un de mes seins de mon bustier et me lécher le téton tout en enfonçant encore plus profondément ses doigts dans ma chatte trempée. Le bruit de mouille fait écho à la respiration saccadée de nous toutes réunie pour une bonne partouze lesbienne.

Julie m’allonge doucement sur le divan tout en continuant à me lécher la bouche. Je continue de lui fourrer mes doigts au fond de son petit minou dégoulinant de désir lorsque je sens une langue s’insinuer en moi et me lécher la raie. Je lève la tête et aperçois ma collègue de travail très appliqué à me brouter le minou. Je prends mon pied et savoure cet instant précieux empli de sensations intenses. Je gémis en me cambrant pour qu’elle fourre sa langue et ses doigts plus fort en moi. Julie se dégage de ma bouche et part galocher l’inconnue du soir occupée à se caresser. Les doigts pleins de mouille, elle se doigte maintenant le cul en haletant. Aurélie vient placer son pubis tout épilé devant mon visage pour que je m’occupe d’elle. J’écarte avec deux doigts ses petites lèvres et viens lécher doucement le clitoris gonflé de ma nouvelle amie. Elle gémit et se cale un doigt profondément pendant que j’entame un va-et-vient avec ma langue devenue experte au fil des ans. Je sens venir l’orgasme et ne vais pas pouvoir participer à ce manège encore bien longtemps. Je trempe ma langue dans le liquide baveux d’Aurélie devenue une grosse chienne. Elle m’insulte et me fesse les seins tout en gémissant. J’accentue mon mouvement de langue pour qu’elle devienne encore plus folle. J’adore sentir le désir prendre possession de son corps et de son esprit. Pendant ce temps, je sens monter un gémissement encore plus profond et intense en moi.Je ressens un orgasme puissant sûrement grâce aux doigts et aux coups de langue expérimentée de mon amie. Je m’affale sur les coussins tout en léchant copieusement la chatte d’Aurélie qui me rejoint rapidement en couinant.

Cette partouze entre filles restera, à coup sûr, gravée dans mon esprit. Une folle soirée entre filles qui se termine en se faisant beaucoup de bien, que demandez de plus ? Peut-être de nouveaux jeux ? Ou de nouvelles aventures ? La suite, je vous la raconterai prochainement, soyez-en sûr !

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