Mes aventures de soumise volume 4

Après cette relation très étrange avec mon maître, nous nous sommes perdus de vue. J'ai repris le cours normal de ma vie, même si ce n'était pas évident. J'avais toujours en moi cette envie de me faire brutaliser, de me faire soumettre par un mec sévère et viril. Je suis tombée sur un nouveau collègue de travail qui avait le profil adéquat. J'ai hésité un moment à le chauffer, mais ça s'est fait naturellement. Un soir, nous nous sommes retrouvés seuls au bureau. J'ai tout fermé à clé. Je savais déjà qu'il allait m'en faire baver.

Le bureau était étroit. Il se tenait debout devant moi. Sa queue était déjà dehors, face à moi, comme pour me faire peur. Elle était énorme.

"Prends ma queue salope!"

Il me fixe dans les yeux tout en me donnant ses premiers ordres. Je me dépêche d'obéir. Un "oui" timide sort de ma bouche, alors que je prends sa bite bien dure à pleine main. En un éclair, il me choppe à la gorge.

Il me demande alors : "oui quoi ?"

Je murmure, étreint par sa main, "oui, maître, je suis désolée, maître".

Après une brève hésitation, un léger signe de la tête m'indique qu'il accepte mes excuses. Au moins pour l'instant. Cet homme est encore plus autoritaire, cochon et violent que mon premier initiateur. J'en ai des frissons de peur et de plaisir. Mon clito gonfle instantanément. Je commence à pomper sa queue, fermement mais timidement. Je suis seins nus, en tailleur et bas. Je ne porte pas de culotte. Mes mamelons sont durcis par l'excitation et j'ai la chatte douloureuse, elle veut se faire prendre. Moi, tout ce que je veux, c'est lui plaire, qu'il m'utilise comme un objet pour son plaisir et assouvir tous ses désirs, sans aucun tabou. A en juger par son regard froncé et ses mimiques, il le fera très bientôt.

"Répète ta phrase." Je crache sa queue et m'exécute. Je tiens toujours sa tige de ma petite main timide. Son gland est luisant de ma bave. Ses couilles sont lourdes et imposantes.

"Oui, maître. Je vis pour vous servir. Je vis pour vous servir. Je vis pour-"

Il attrape alors mon visage fermement mais doucement et dit: "Bonne salope. Bonne chienne que tu es. Et quoi d'autre?"

"Je ne veux que votre plaisir."

"Bonne petite pute", chuchote-t-il. Il me fait ensuite un petit sourire indulgent. "Plus rapide."

Je me dépêche d'obéir, caressant ses couilles et tournant ma langue rapidement, tout en augmentant le tempo. Son expression faciale me fait penser que la vitesse est parfaite. Il tend la main et commence à passer légèrement ses gros doigts sur mes seins, mon ventre, puis il arrive presque aussi bas que ma chatte.

"Qu'est-ce que tu veux, ma salope?"

Je gémis : "Votre plaisir, maître". Sa main errante s'est faufilée vers un de mes tétons et le pince, le tire et le malaxe. Une petite partie égoïste de mon esprit espère que sa bouche remplacera bientôt ses doigts. Il semble lire mes désirs sur mon visage.

"Qu'est-ce que tu veux?"

"Votre plaisir, maître."

Il se penche jusqu'à ce que sa bouche soit à quelques centimètres de mon mamelon. Son souffle est chaud et humide. Ma respiration s'accélère et mes jambes se tordent involontairement. Cela me rappelle à quel point j'aime me faire sucer le sein.

"C'est ce que tu veux, salope?"

Je gémis, je respire vite, tellement je suis excitée. "Oui", je respire, "Oui, maître."

Il sourit d'un air autoritaire et se penche plus près. Il se met à souffler dessus, pour finir de le durcir. Puis il finit par lécher légèrement le bout du téton ce qui me fait gémir encore plus fort. Il le grignote complètement maintenant, il le dévore. Je sens ses dents qui le mordent. Le salaud, j'en ai mal au sein, mais j'aime ça. Je me laisse complètement aller, me focalisant sur mon plaisir et en oubliant même la place et le rôle qui sont les miens. Je lâche sa queue....

 

Il m'attrape alors rapidement la gorge. "Tu as cessé de me toucher, salope." J'essaye rapidement de réparer mon erreur, le caressant et le suçant encore tout en murmurant: "Je suis désolée, Maître, désolée... Pardonnez-moi, s'il vous plaît, je suis désolé ...", mais il n'a pas l'air satisfait. Mince... Je pense que j'ai fait une erreur.

"Tu veux être ma bonne pupute, n'est-ce pas?"

"Oui, Maître, oui, s'il vous plaît, laissez-moi vous plaire." Je le demande presque de façon incohérente. Je déteste décevoir mon maître. Je veux tellement être punie pour pouvoir redevenir sa bonne pute. Je le lui dis encore et encore comme pour me faire pardonner.

"Lève-toi", ordonne-t-il.

Je me dépêche d'obéir en murmurant : «Oui, maître». Je suis un peu effrayée. J'ai peur qu'il me frappe ou qu'il m'étrangle, mais je le mérite, c'est de ma faute, je devais continuer de le branler et le pomper, un point c'est tout.

"Regarde-moi", ordonne-t-il. Je sais maintenant que je vais être punie sévèrement. Les larmes me montent aux yeux. Je n'aime pas décevoir mon maître. Je suis vilaine, comme toujours...

"Chut. Tu vas être puni, et ensuite tu redeviendras ma bonne salope. D'accord?" Je hoche faiblement la tête, trop honteuse pour parler.

Il se détourne de moi et revient avec sa ceinture. Merde. Je vais morfler.

"Penche toi en avant, dépêche toi, j'ai pas que ça à foutre bordel" Alors que je me dépêche de me positionner, je pense tristement à la façon dont je vais être punie. Je sais que la ceinture, ça fait mal. Heureusement qu'au fond de moi, j'aime ça, sinon je ne serais pas là avec ce fou furieux.

Après un moment d'attente, le premier coup atterrit sur mon gros cul nu dans un claquement audible. Aie. Je gémis malgré moi. Je ne suis pas censé profiter de la punition, non? Mais chaque coup suivant me rend de plus en plus humide, jusqu'à ce que je halète comme une petite chienne. Après 28 coups de ceinture (j'ai pris un malin plaisir à tout compter), Maître décide que j'ai payé pour ma transgression et qu'il est temps de poursuivre là où nous nous sommes arrêtés quelques minutes plus tôt.

"À genoux, salope," siffle-t-il. Je me lève et me retourne. Sensationnel. Je suppose que ma punition l'a excité aussi. Il est dur comme de la pierre et il a ce regard de désaxé qui le rend encore plus attirant. Avant que je puisse m'agenouiller, il me saisit l'arrière de la tête, par les cheveux, pour mieux m'appuyer le visage vers le sien. Sa langue me remplit durement la bouche. Mon excitation est instantanée et stupéfiante. Il me met à genoux, sa main me tenant toujours les cheveux et met sa queue dans ma bouche. Je gémis encore, si heureuse de lui faire enfin plaisir, heureuse de le sentir si fort dans ma bouche. Il pousse ma tête le plus loin possible, comme pour me violer la gorge. Je suis bouché bée, sa queue me remplissant complètement. Il fait tout de même attention de ne pas me priver d'air trop longtemps. Il gémit et jure. Je caresse ses jambes, ses fesses et ses couilles en gémissant et me tordant autant que ma position me le permet. Il varie son tempo, de rapide et superficiel à lent, sensuel et jusqu’au fond de la gorge. Je ne le connais pas bien, c'est la première fois qu'il me viole le gosier, donc j'attends de déceler les signes de son apogée. Je vois bien qu'il prend son pied, et je suis toujours aussi fière de moi lorsqu'un maître est sur le point de jouir grâce à ma petite bouche de soumise.

D'un coup, alors que je ne m'y attendais pas, il se retire de ma gueule et me hurle de le finir à la main. Je m'exécute aussitôt, saisissant son noeud fermement pour le branler avec force et frénésie. Je sens sa tige se contracter. Une grosse salve de sperme vient se répandre sur mon visage, du front jusqu'au menton, puis une deuxième, et une troisième. Il râle et pousse des jurons tout en jouissant sur sa chienne. Je lui trais la pine jusqu'à la dernière goutte, puis je finis tout ça en le suçant bien à fond pour lui nettoyer la queue et lui lustrer le gland. Maître veut maintenant rentrer chez lui. Il me dit que je ne mérite pas encore d'en avoir plus, et que je dois faire mes preuves. Il veut rejoindre sa femme. Il m'a simplement utilisé pour se vider les couilles. C'est le contrat, je ne me plains pas, c'est tout ce que je mérite...

 

 

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