Nos petits plaisirs entre filles, sex only !

Je suis Marion. Sonia a déjà dû vous parler de moi. Ne vous méprenez pas, je n'ai rien d'une lesbienne aux cheveux courts et aux allures de chef de chantier. Je suis une jeune fille de 23 ans très coquette, et comme beaucoup de mes compères du même sexe, je fantasme depuis longtemps sur une partie de baise entre copines. J'ai déjà eu l'occasion au lycée d'embrasser une ou deux filles, mais c'était toujours lors de soirées assez arrosées et plutôt pour le délire. L'occasion d'aller plus loin ne s'est d'ailleurs pas présentée à cette époque. Et puis j'ai continué ma vie, les sorties, ma passion pour l'équitation, mes études de droit, ma famille. J'ai eu quelques petits copains sérieux. Disons que je ne pensais plus vraiment à ce fantasme qui a pourtant rythmé pas mal de mes séances de masturbation... Et puis il y a eu Sonia, une de mes meilleures amies. J'ai tout de suite flashée sur elle. Je précise que j'adore les blondes assez fines et féminines, ce qui est tout à fait son cas. Je me souviens de la première fois que j'ai vu son cul moulé dans sa tenue de sport. Je n'avais qu'une envie, pouvoir lui faire des choses. Mais bon, tout cela n'était qu'un fantasme, comme toujours, jusqu'au jour où... On s'est envoyé des sms un peu coquins, puis elle est venue chez moi et je l'ai emballé. Je me suis occupée de son petit minou, c'était la première fois que je faisais ça et j'ai plutôt kiffé.

J'avais hâte que l'on remette ça, même si je culpabilisais un peu par moment d'être aussi salope que ça. Jusqu'au jour où je devais me rendre à une compétition d'équitation qui était prévue depuis plusieurs semaines. C'était assez loin de chez moi et je dormais sur place durant le week-end. Sonia était dans le même club que moi et participait également à cette manifestation équestre. J'étais contente qu'elle vienne, cela me permettrait peut-être de tenter à nouveau un truc. L'entraîneur nous a attribué les clés à notre arrivée à l'hôtel, et à ma grande surprise, nous étions deux par chambre. Je crois que le hasard a très bien fait les choses car je me suis retrouvée avec Sonia. La première journée de compétition a commencé, et déjà à l'entraînement, je n'arrêtais pas de reluquer ses fesses en me rappelant notre première baise. Elles étaient légèrement bombées, bien fermes, tout juste le type de cul qui me fait fondre. Un moment, elle s'est même baissée devant moi pour ramasser un truc et je me suis retenue de toutes mes forces pour ne pas lui mettre une main au fion !

 

 

 

J'étais excitée, j'avais envie de sexe. Je me disais pourtant que rien n'allait se passer, que Sonia avait accepté une fois car je lui avais tendu une sorte de piège et qu'elle n'avait pas eu le choix... Nous sommes le soir, et nous regardons un peu la télé toutes les deux. La journée nous a épuisées. Sonia m'indique qu'elle va se coucher. Je fais de même. Nos lits sont l'un à côté de l'autre. Alors que je suis sur le côté à essayer de trouver le sommeil, je sens une présence à côté de moi. C'est Sonia qui est venue me rejoindre. J'hallucine. Elle me dit qu'elle a peur du noir depuis toute petite et me demande si elle peut dormir avec moi. J'accepte, un peu étonnée, la pensant beaucoup moins entreprenante que ça. Je reste sur le côté, assez troublée par la situation, mais j'essaie tout de même de dormir car je sais très bien qu'il ne se passera rien, et de toute façon je n'oserai jamais faire un geste déplacé.

Je commence presque à m'endormir quand je sens une main m'enlacer la taille et se poser sur mon bidon. Elle se colle complètement à moi en me disant qu'elle aime dormir comme ça, que ça la rassure. Je commence à être gênée et excitée, mais je fais mine de rien. Pourtant, je sens le souffle de Sonia sur ma nuque, et le bout de ses seins qui se plaquent sur mon dos. La main de Sonia commence à bouger sur mon ventre, doucement, elle me caresse. Je mets ça sur le compte de sa peur du noir, jusqu'à ce que je sente qu'elle me fait un bisou sur le cou, puis un autre, et encore un autre. Là, tout s'accélère, je me retourne, un peu choquée, et je n'ai même pas le temps de lui demander ce qu'il se passe qu'elle m'embrasse à pleine bouche. Je ne peux rien faire, je reste bloquée sur place, sa langue me fouillant l'intérieur de la bouche. Je n'y crois pas, c'est elle qui m'emballe, et je vais pouvoir vivre ma deuxième expérience coquine avec une fille.

Je décide de me laisser aller, de la laisser prendre les choses en mains, contrairement à notre première fois où j'ai mené la danse. Je participe tout de même activement à ce jeu de langues. La bouche de Sonia est bonne, fraîche et chaude à la fois. J'adore sa langue humide qui fait des mouvements rapides contre mes lèvres et dans ma bouche. Elle arrive même à aspirer ma langue à plusieurs reprises pour la sucer lentement. Moi, je saisis tout de suite son cul à pleines mains et je plaque son corps contre le mien. Je lui avoue que je voulais trop recommencer avec elle depuis l'autre soir et elle fait de même. Elle me saisit également le boule et nous nous pelotons comme ça tout en nous suçant les langues. Nous enlevons nos tops et sommes maintenant la poitrine à l'air. Ses seins sont collés aux miens, je peux sentir ses petits tétons tièdes se durcir. Je passe mes mains dans son shorty pour prendre ses fesses. Une de mes mains glisse dans sa raie et je peux sentir plusieurs fois son trou du cul et la naissance de sa chatte. Tout est trempé... Je lui cale un doigt sans difficulté et tente de lui faire du bien. Elle copie exactement ce que je fais et m'enfourne également un doigt, puis deux, puis trois. Je fais de même. Nos mains s'agitent fermement dans un bruit de mouille. Je n'en peux plus, je veux la bouffer. Je lui demande de se foutre à poil et de se mettre à l'envers sur moi.

 

 

J'adore les 69 avec les mecs, ça doit être encore mieux avec une fille. Sonia s'exécute. J'ai maintenant son petit cul de salope en plein sur mon visage. Je me lance comme une forcenée et lui lape entièrement le trou du cul et l'ensemble de sa raie. Comme c'est bon. Son petit fion a un goût de noisette et je prends un plaisir fou à me délecter de son arrière-train. Je sens pendant ce temps qu'elle me suce la chatte. Sa bouche est agile et elle a très vite trouvé mon clito dans l'obscurité. Difficile de le louper, il est si dur, si gonflé, si gorgé de désir... Je me fais lécher, aspirer, gober, baiser le minou pendant de longues minutes. Je profite de ça mais je dois également me concentrer sur son plaisir. J'insert lentement un doigt dans son petit cul puis commence également à lui bouffer la moule. Sous mes coups de langue, je sens que le fion d'Estelle se contracte autour de mon doigt. Je prends un peu de mouille de sa chatte pour finir de lubrifier son cul puis j'y enfonce deux doigts. Je ne veux pas en mettre plus pour ne pas lui faire mal, il est si étroit. Tout son jus intime me coule sur le visage et j'en bois chaque goutte. Elle est salée mais c'est agréable. J'ai rarement bu de la mouille alors je n'en laisse pas une trace car l'occasion ne risque pas de se représenter.

Après ce bon 69 où nous avons chacune eu un orgasme, Sonia prend l'initiative et me monte dessus. Elle me demande d'écarter les jambes. Elle se cale avec son sexe sur ma cuisse, puis colle sa jambe sur ma fente et commence à bouger comme si elle montait et baisait un mec. Je ne connaissais pas ce truc mais putain, qu'est-ce que c'est bon ! Elle se frotte le clito et me frotte le mien en même temps. Je peux bien profiter de la vue de sa poitrine qui ballotte dans tous les sens. Je vois aussi son visage, marqué par le plaisir, et elle ne cesse de me fixer des yeux tout en me disant des trucs cochons. Je jouis encore une fois, puis une deuxième. Sonia a un putain d'orgasme et je sens ma cuisse pleine de liqueur intime.

Après ce dernier moment de plaisir entre filles, elle tombe littéralement dans mes bras. Nous sommes nues toutes les deux, collées l'une à l'autre, et nous nous faisons des câlins et des bisous pendant plusieurs minutes. J'ai encore le goût particulier de son cul et de sa fente sur la langue, mais ça ne la dérange pas et elle continue à me rouler des pelles. Je sens même le goût de mes propres orifices dans la bouche de ma partenaire d'un soir. C'est une sensation étrange, qui pourrait être dégoutante dans d'autres circonstances, mais là, c'est juste agréable. Nous finissons par nous endormir, à poil, l'une contre l'autre. Je n'oublierai jamais cette deuxième expérience lesbienne avec Sonia, et depuis ce jour, nous nous voyons régulièrement pour nous faire du bien !

 

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