Mes aventures de soumise volume 3

J'ai mis plusieurs jours à réaliser que j'avais vécu une sorte de gang bang avec plusieurs hommes. J'ai longtemps fantasmé sur ce type de scène de cul, et je l'avais enfin moi-même vécu. Je me sentais un peu sale d'avoir fait ça, mais c'est ce que je voulais, et surtout ce que mon maître m'ordonnait. Je ressentais encore quelques douleurs dans le cul, car je dois dire que mes bourreaux étaient particulièrement bien membrés, mais j'en garde dans l'ensemble un excellent souvenir. Mon apprentissage de soumise continu donc de progresser, et je suis très assidue. J'essaie de rester la plus obéissante possible, malgré quelques petits écarts. Dès que mon maître désire un truc ou me demande de venir le voir pour une soumission improvisée, je ne me pause pas de question et je m'exécute tout de suite. Il est intransigeant et a souvent de nouvelles lubies. J'ai toujours peur que ça soit un truc crade ou je ne sais quoi d'autre, car il regarde souvent du porno assez trash...

Son nouveau délire en ce moment, c'est de vouloir me dilater un peu plus le trou du cul. Il me dit tout le temps que je  suis trop étroite, et que mon fion mériterait une bonne grosse séance de dilatation. Pour se faire, il souhaite désormais que je garde deux godes en moi toute la journée, un dans le fiacre et l'autre dans la chatte. Je dois lui téléphoner régulièrement et lui envoyer des photos pour lui prouver que je les porte bien en moi constamment. Il a lui-même choisi les ustensiles que je vais devoir enfouir en moi 24h sur 24, et comme vous devez vous en douter, ils sont juste énormes. Je viens de passer la journée complète avec ces deux machins vissés dans mes orifices, et j'ai super mal.

J'ai des courbatures dans le bas du ventre, comme après une grosse séance de sport sans faire d'étirements. Mais la douleur ne m'empêche pas de mouiller comme une catin soumise, et j'ai senti du liquide me couler sur les cuisses toute la journée. J'ai eu du mal à cacher ma douleur et mon plaisir au travail, mais j'ai réussi à m'éclipser aux toilettes plusieurs fois pour me soulager un peu. Je pense que si je garde ces godes fichés en moi plusieurs jours, mes orifices vont devenir plus souples, ce qui devrait contenter l'homme sévère qui me sert de bourreau.

Mon maître m'appelle, il désire me voir tout de suite, mais au lieu de me rendre à son domicile comme d'habitude, il souhaite me faire venir dans un restaurant assez chic dans le centre ville. Je n'ai aucunement le droit de dire non, même si je n'ai pas très envie et que j'avais prévu un truc avec une amie. Je m'empresse donc de le rejoindre aussi vite que je le peux, en tenue sexy, comme d'habitude. Il est assis en terrasse avec une autre fille. Il m'explique que c'est une autre de ses soumises, mais qu'elle va devoir partir car sa séance d'éducation est terminée. Je suis un peu jalouse, je ne savais pas que mon maître s'occupait d'élever d'autres femmes que moi.

Je prends sa chaise et m'assois tant bien que mal, toujours avec de grosses douleurs entre les cuissots. Les godemichés sont plus volumineux et beaucoup plus durs qu'un vrai sexe d'homme, et me mettre sur une chaise avec ces trucs dans le cul et le vagin est un vrai supplice. Mon maître est conscient des efforts que je fournis, et il me paye un petit verre de vin. Je sens ma mouille se répandre sur la chaise et humidifier mon pantalon. Quelle honte, on dirait presque que je me suis fait dessus. Maître veut voir le résultat de la dilatation, et il m'ordonne de me rendre dans les chiottes.

Il me rejoint aussitôt et m'enferme dans un des cabinets. Je sais déjà que je vais en prendre pour mon grade. Avec la douleur, je pense que mes petits trous ne sont pas aptes pour une pénétration, et je tente timidement d'imposer mon avis sur la situation, mais je n'ai pas le temps d'aller au bout de ma protestation. Il a déjà sa grosse queue dehors, bien raide et prête à me posséder. Il me regarde avec un air déterminé et dominateur. Je ne peux pas reculer, je suis bloqué dans ce chiotte et je vais de nouveau me faire prendre dans la douleur. Je serre donc les dents. Je sais que la douleur provoque chez moi de la jouissance, il me suffit juste d'attendre un petit peu. Les débuts sont parfois difficiles, mais il faut savoir tenir pour apprécier la suite. Je baisse mon bas et me penche en avant. Sans rien dire ni me prévenir, il sort le gode placé dans mes fesses et le remplace d'un coup par sa bite. Il m'encule vulgairement dans les chiottes d'un restaurant.

 

 

Mon fion encaisse facilement cette queue, à mon grand étonnement, mais je suis loin d'imaginer la suite. Il me nique la grotte encore un moment. Il y va si fort que j'ai plusieurs orgasmes douloureux, puis il éjacule dans mon fondement. Il retire son sexe baveux de mon entretoise et se reboutonne le froc. Quel porc ! Je sens tout son sperme englué dans mon rectum. Je relâche l'étreinte de mon anus et toute cette semence s'échappe de mes fesses et coule sur l'intérieur de mes cuisses. Une partie se répand sur le sol, reflétant la lumière des spots d'un jaune assez glauque. Mon maître sort ensuite un autre gode de sa veste et m'en place donc deux dans l'anus. Ce gros pervers inconscient veut me dilater à l'extrême. Il mutile presque mon corps si fragile, mais j'accepte de prendre deux sextoys dans le cul, car je ne suis rien d'autre que sa soumise. Je me demande comment je vais pouvoir passer plusieurs jours avec ça dans le troufion, mais je serre les dents et rentre chez moi. La suite au prochain épisode.

 

 

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  1. Melyssa
    | Répondre

    Mon maître me force aussi en permanence de porter des sex toys
    Je dois en permanence être dilatée pour recevoir sa bite ou celle qu’il veut voir me pénétrer.

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